Le cocu

Une gueule de prince charmant
Errait (guidé) par le vent
Et machiavéliquement
Cocufiait les honnêtes gens

C’était un fier chevalier
Le verbe (facile) bien tourné
Mais j’aurais jamais pensé
Qu’il charmerait ma fiancée

Quand y est arrivé au village
Dans les coeurs y a fait tout un carnage
Y pouvait s’taper n’importe qui
Mais c’est la mienne qu’y a choisie

Bien sûr, après quelque temps
Elle est (r’venue) en pleurant
Le parfum du chevalier émanait
Encore de son bustier

Elle s’est effondrée
M’implorant de la reprendre à mes côtés
Je n’ai pas su refuser, moi, le cocu bien-aimé
Moi, le cocu bien-aimé